“No habrá muro:” Sioux, Yaquis y Tohono O’odham. Las luchas indígenas se unen desde Standing Rock hasta la Sierra Norte de Puebla

20/02/2017 - https://desinformemonos.org

La política “xenófoba y agresiva contra México” de Trump ha puesto en alerta a los pueblos originarios de Estados Unidos y México, quienes declararon que “no habrá muro”. La lucha de los pueblos indígenas se suma de ambos lados de la frontera, y en Cuetzalan, en la Sierra Norte de Puebla,  con la presencia de representantes de los pueblos indígenas de Nuevo México y Dakota, ratifican la defensa de sus tierras y territorios. 

Tohono O’odham, Sioux y diversas tribus indígenas están en contra de las políticas de Donald Trump y prometen llegar hasta las últimas consecuencias en defensa de su territorio.

La tribu Sioux de Standing Rock y sus defensores han hecho la promesa de resistir la orden ejecutiva de Donald Trump que autoriza la construcción de un oleoducto en Dakota y piensan impulsar medidas legales, llamar a la desobediencia civil e instalar un campamento de resistencia para proteger el agua del río.

“El presidente Trump tiene la obligación legal de... Leer mas

Mexique : une candidate indigène à la présidentielle ?

15/02/2017 - http://www.franceameriquelatine.org

On l’oublie, mais le Mexique, vaste comme près de quatre fois la France, est aussi le pays du continent américain qui compte en son sein le plus grand nombre d’indigènes. Entre 13 et 16 millions d’individus, appartenant à plus de 50 ethnies différentes. Mayas, Otomis, Zapotèques, Totonaques, Huaxtèques, Mazatèques, Nahuas, Mixtèques… Les plus militants d’entre eux forment les files du Congrès national indigène (CNI).

Créé il y a vingt ans dans la foulée de la rébellion zapatiste du Chiapas, le CNI va de nouveau défrayer la chronique en cette fin d’année avec l’annonce des résultats de la consultation de ses «bases d’appui» visant à désigner une candidate indigène à l’élection présidentielle mexicaine de 2018 !

 Si l’initiative en elle-même revient à l’Armée zapatiste de libération nationale (EZLN), voire à ses prolixes «sous-commandants», Moisés et Galeano (ex-Marcos), que l’on disait fâchés avec la voie électorale, les motifs exposés concernent bien l’ensemble des peuples indigènes du Mexique et, au-delà, les victimes d’un modèle de développement prédateur et les laissés-pour-compte de l’Accord de libre-échange nord-américain (Alena). En cause, l’accaparement de leurs territoires – sans leur consentement donc – pour l’établissement de «mégaprojets modernisateurs», aux mains d’investisseurs extérieurs.

La liste est sans fin, aux quatre coins du Mexique : concessions minières, explorations pétrolières, exploitations forestières,... Lire la suite